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Thaïlande (3)

Jour 16 - Chiang Maï – Wat Prathat Doï Suthep = 38 Kms –  moyenne 13,1 Km/h - Plat – 11 Kms de montée – 11 Kms de descente - Dénivelé montant  655 mètres – pente Maxi 12 % - Lundi 28 janvier 2013

Aujourd'hui est un jour de repos et nous nous sommes donnés rendez-vous à 8 heures en tenue de ville pour le petit déjeuner. Nous prenons cinq déjeuners « continental » (Café – 2 Toasts confiture – salade de fruits). C'est 70 Bahts le petit déjeuner soit 350 Bahts pour cinq.

Nous rentrons à l'hôtel pour prendre nos affaires et nous habiller en cycliste. Nous partons en direction du Wat Prathat Doï Suthep vers 10 heures. Il y a d'abord 8 ou 9 kilomètres de plat en ville puis la route commence à monter. C'est assez régulier et sans les bagages la montée nous paraît « facile » malgré des passages à 12 % et une moyenne à 6 %. Nous arrivons au Wat vers midi et Michel constate que son pneu arrière est dégonflé. Nous démontons et constatons qu'il y a encore une entaille sur la partie intérieure de la chambre à air (toujours le même problème). Nous nous installons sur une petite place à gauche en montant et au niveau des première maison. Pendant la réparation une dame nous demande sans cesse de payer pour le parking (quelques dizaines de Baths, je ne me souviens plus du prix exact). Nous faisons comme si nous ne comprenions pas et terminons la réparation. Nous poursuivons ensuite sur une centaine de mètres avec nos vélos en direction du temple et trouvons, toujours sur la gauche, un parking deux roues gratuits (nous en trois roues mais cela ne pose pas de problème). Le parking est derrière des boutiques et un peu à l'écart de la route. C'est une petite place en terre non surveillée. Il y a des arbres et un peu d'ombre. Nous attachons nos vélos et nous dirigeons à pieds avec nos sacs à dos vers le temple.

Nous commençons la montée des escaliers qui permettent d'accéder au Wat. Nous nous arrêtons en chemin pour prendre une boisson. Nous prenons cinq petites bouteilles d'orange pressée (100 Bahts). En face il y a une boutique qui fait des œufs de caille au plat à 20 Bahts les six œufs. Il reste deux barquettes avec sept œufs. Nous les achetons 40 Bahts et dégustons. C'est très bon. Nous faisons ensuite halte dans un restaurant et prenons cinq riz – poulet ou riz porc et cinq boissons gazeuses (325 Bahts).

Nous attaquons ensuite le dernier escalier qui conduit au Wat. Nous avions fait 100 marches avant le restaurant et il en reste 200 (comptage Michel). Les marches ne sont pas hautes et la montée est facile. Nous visitons le temple et admirons la vue sur Chiang Maï 550 mètres en dessous. La descente des escaliers est facile et nous retrouvons nos vélos là où nous les avions laissés.

Nous attaquons ensuite la descente en vélo prudemment, sauf Pierre-Jean qui veut se faire plaisir, car pendant la montée nous avons vu une ambulance et une moto à terre. la moto semblait avoir percuté un autobus. La descente qui est plus impressionnante que la montée se passe sans problème.

Arrivé en ville Michel constate que son vélo est encore dégonflé. Il regonfle rapidement et nous continuons en direction de l'hôtel. Nous faisons une halte rapide dans une poste pour y acheter cartes postales et timbres.

Nous arrivons à bon port sans autre problème et attaquons de suite le démontage du pneu. Nous ne trouvons pas de fuite à la chambre à air et nous la remontons enrobée dans une vieille chambre découpée pour l'occasion. Ce truc avait fonctionné pour des crevaisons identiques il y a deux ans. Nous remplaçons ensuite le gros pignon 32 dents de la cassette par un 34 dents que Michel avait apporté en rechange. Lorsque nous serrons la cassette la roue se dégonfle brutalement. Nous démontons le pneu et constatons que la rustine collée à midi ne résiste pas à la pression (rustine Décathlon). Nous mettons une chambre à air neuve, toujours enrobée par une ancienne, achetée par Michel à Thanya Buri après les premières crevaisons.

Après la douche nous ressortons en ville pour dîner. Nous choisissons un restaurant à l'écart du centre touristique et prenons cinq riz poulet poivrons noix de cajou tomate. Le riz est servi dans un coin de l'assiette et le reste dans un autre coin. C'est copieux et délicieux. Nous prenons aussi cinq coca. Nous payons 300 Bahts le tout.

Nous rentrons à l'hôtel vers 21 heures. Demain nous irons visiter "Mae Sa Training elephant camp". C'est à environ 25 kilomètres et nous ferons la route en vélo. Nous nous sommes donnés rendez-vous pour un départ à 7 heures.

Jour 17 - Chiang Maï – Mae Sa Elephant Camp = 69 Kms –  moyenne 17,2 Km/h - Plat – 6 Kms de montée – 6 Kms de descente - Dénivelé montant 337 mètres – pente Moyenne 4 % - Pente Maxi 11 % - Mardi 29 janvier 2013

Durs, durs les jours de repos. Levé à 6h30 ce matin pour essayer d'être au camp pour une représentation du matin. Les spectacles sont à 8h – 9h40 - et 13h30. Nous pensons être sur place pour la représentation de 9h40. Nous partons à l'heure prévu et faisons un rapide arrêt petit déjeuner en ville – 1 poulet au curry avec nouilles – 3 soupes de nouilles poulet et 1 riz frit poulet – 3 cafés et 2 Thés  (225 Bahts).

Nous repartons vers 7h50 sous un ciel menaçant en direction du camp des éléphants. La route est plate et, après la sortie de la ville, tranquille. A 9 heures nous avons parcouru 23 kilomètres mais il en reste une bonne dizaine dont environ 6 de montée. Nous ne pourrons pas être au camp pour le spectacle de 9h40. Nous nous arrêtons donc à la ferme aux orchidées (40 Bahts l'entrée soit 200 Bahts pour nous 5). Le ciel s'est dégagé et il fait beau maintenant.

Il y a beaucoup de shows sur la route (Singes, crocodiles, serpents etc...). Nous faisons ensuite halte devant la ferme aux serpents. L'entrée est à 200 Bahts, nous ne sommes pas emballés et Claude ne veut pas y aller. La caissière nous propose une remise 150 Bahts au lieu de 200. Nous déclinons l'offre. Un tuck tuck amène des clients et le chauffeur ramasse des fruits de Tamarind tombés à terre et nous les offres. Nous mangeons et faisons aussi une petite cueillette.

Nous repartons ensuite en direction du camp des éléphants et faisons une pause repas juste après une petite montée. Nous prenons cinq riz poulet et 5 boissons (250 Bahts).

Nous faisons ensuite la dernière partie du parcours qui est la plus difficile car la route monte. Nous arrivons au camp des éléphants vers 12h30. Les billets d'entrée sont à 200 Bahts (1000 Bahts pour cinq). On peut faire une promenade dans la nature d'environ une demie heure à dos d'éléphant. Personne dans le groupe ne souhaite faire la balade. Nous ne savons donc pas le prix mais ce doit être environ 1000 Bahts pour deux.

Nous visitons le parc et prenons des photos. Un peu avant 13h30 nous nous rendons sur le lieu du spectacle. Le spectacle n'est pas transcendant mais se laisse regarder - démonstration de montée et descente des cornacs – Transport et rangement de troncs d'arbres – Jeu de foot – de basket – de flechettes – Massage Thaï - danse – peinture avec la trompe. Pour la peinture on a l'impression que c'est le cornac qui guide la trompe de l'éléphant en lui tirant l'oreille. Le résultat n'est pas mal vu de loin (de prêt nous n'avons pas vu).

Tout ceci endort un peu et j'avais besoin d'un café. Nous prenons donc deux cafés et un thé (120 Bahts). C'est cher pour le pays mais le cadre et le mobilier justifient le prix.

Nous prenons ensuite le chemin du retour. Le début est facile, c'est de la descente. Le reste n'est pas difficile et nous avançons rapidement. A dix kilomètres de l'hôtel nous traversons un grand marché. Il est 16h30 et nous avons faim. Nous achetons donc quelques friandises – 15 Beignets et 2 sachets de pop corn - (95 Bahts) et des fruits - 1,3 Kgs de mangues et une poignée de bananes (60 Bahts). Deux jeunes promènent un éléphant autour du marché et vendent des sachets de petits morceaux de canne à sucre pour le nourrir. Nous comprenons vite qu'il n'y a pas d'autres choix que d'acheter quelques sachets de 20 Bahts. Sinon les compères restent à proximité avec leur éléphant qui balade sa trompe, fouille dans les sachets et englouti les provisions. C'est la même chose pour les Thaïlandais. Comme les autres nous achetons 3 sachets à 20 Bahts (60 Bahts) et donnons les morceaux de canne à manger à l'éléphant. Les compères s'éloignent vers d'autres cibles avec leur animal et nous retrouvons notre tranquillité. Nous quittons le marché avec nos « courses » pour les manger dans un endroit plus calme.

Quelques centaines de mètres plus loin nous passons devant une boutique de réparation de vélos et motos. Nous demandons s'ils ont des chambres à air pour roue de 20 pouces. Il y en a, de fabrication Thaïlandaise, à 80 Bahts (très bonnes d'après le commerçant). Michel en achète deux pour remplacer celles qui sont inutilisables. L'éléphant et ses maîtres passent devant la boutique pendant que nous y sommes. Nous avons juste le temps de cacher nos courses avant qu'ils arrivent sur les vélos. Les commerçants du coin sont aussi mis à contribution pour la nourriture de l'animal.

Nous faisons encore quelques centaines de mètres et nous nous arrêtons dans un abri bus devant une épicerie. Nous sommes à l'ombre et il y a de quoi s’asseoir. Nous achetons cinq boissons fraîches à l'épicerie (60 Bahts les cinq) et mangeons. L'éléphant passe dans le quartier au moment où nous terminons de manger. Jean-Pierre lui donne les reste de mangues, noyaux et peaux, qu'il englouti en une bouchée.

Le temps redevient menaçant et il est 17h30. Il nous reste une dizaine de kilomètres à parcourir pour rejoindre l’hôtel et il faut reprendre les vélos si nous voulons arriver avant la nuit. Le trajet restant est rapidement parcouru et nous arrivons à l'hôtel vers 18h10 un peu avant la nuit.

Vers 18h45 il se met à pleuvoir. C'est notre première pluie en 16 jours. Elle dure une vingtaine de minutes.

Nous ressortons vers 8 heures et dînons dans un restaurant, fréquenté presque exclusivement par des Thaïlandais, que nous avions repéré hier. Nous prenons trois omelettes avec produits de la mer, une omette au calamar et un plat essentiellement végétal que nous a conseillé la serveuse. Tout est bon, bien qu'un peu gras, et c'est nouveau pour nous. Nous complétons avec cinq boissons et payons 290 Bahts.

Nous faisons ensuite un petit tour sur un marché et achetons huit desserts (40 Bahts) que nous nous partageons.

Nous rentrons à l'hôtel vers 21h30. Nous nous retrouverons demain vers 8h30 pour le petit déjeuner. Nous prévoyons de visiter ensuite un marché fréquenté par des Thaïlandais pour y acheter entre autre des sacs Thaïlandais. Nous aurons des activités différentes pour le reste de la journée. Michel et moi devons revoir nos bagages pour faire rapatrier l'inutile par Pierre-Jean. Nous devons aussi nous remettre en tête notre itinéraire et vérifier, sur le routard et sur Internet, la position des hôtels sur nos parcours.

Jour 18 - Chiang Maï – Repos - Mercredi 30 janvier 2013

Levé à 8 heures pour prendre le petit déjeuner à 8h30. Nous prenons encore 4 petits déjeuner continental et Pierre-Jean prend un plat de riz plus consistant ((360 Bahts le tout).

Aujourd'hui est une journée tranquille. Nous ne nous sommes fixés comme objectif que la visite du grand marché local. Claude et Jean-Pierre s'y rendent à pied. Michel, Pierre-Jean et moi y allons en vélo. Nous arrivons sur le marché en même temps que Claude et Jean-Pierre qui étaient partis un quart d'heure avant nous. Le temps de garer nos vélos et nous les avons perdus de vue. Nous ne les reverrons pas de la journée mais ce n'est pas grave car nous avions décidé de faire des choses différentes. Nos objectifs communs étaient d'acheter des grands sacs Thaïlandais. Ces sacs sont très pratiques. Il nous permettent de regrouper toutes nos sacoches pour l'avion ou si nous prenons des transports locaux (trains, bus etc..). Ils ne sont pas lourds et ils se plient facilement.

Nous trouvons rapidement les sacs et prenons deux grands à 100 bahts pièce et un moyen à 50 bahts. Nous achetons ensuite quelques souvenirs que nous feront rapporter à Pierre-Jean qui n'utilise pas toute sa franchise de bagages.

Nous mangeons à un petit restaurant à coté du marché aux fleurs. Deux riz porc et un riz poulet = 90 Bahts.

Nous nous séparons ensuite car Pierre-Jean veut continuer à visiter des boutiques et Michel et moi voulons rentrer à l'hôtel pour trier nos bagages et faire rapporter à Pierre-Jean les objets inutiles ou les outils que nous avons en double. Michel et moi rentrons donc à l'hôtel avec l'assistance du GPS. Nous trions nos bagages et faisons un peu de vide. Ensuite nous changeons un peu d'argent pour les 5 ou 6 jours qu'il nous reste à faire en Thaïlande. Nous obtenons 39,7 Bahts pour un Euros.

Ensuite Michel repart en ville pour voir les boutiques et moi je rentre à l'hôtel pour sauvegarder les photos et écrire ce texte que je mettrai en ligne depuis un Internet café.Il nous reste le repas du soir et le petit déjeuner de demain matin avec le groupe et ensuite nous partirons en direction du Laos. Claude, Jean-Pierre et Pierre-Jean prendrons le train demain soir pour Bangkok où ils se sépareront vendredi vers midi. Claude et Jean-Pierre prendront le train pour Aranyaprathet et passeront la frontière du Cambodge en vélo. Pierre-Jean reprendra l'avion pour rentrer en France.

Vous n'aurez donc plus que les nouvelles de Michel et moi sur ce site.

Un gros orage éclate pendant que je suis au café Internet. Une première fois les ordinateurs se coupent puis redémarrent. Je n'ai pas le temps de mettre une photo sur le site que tout le quartier est privé d'électricité. Il tombe de trombes. J'attends tranquillement que cela ce calme. La pluie cesse 15 minutes plus tard et le gens commencent à ramasser ce qui est tombé. Le vent a fait tomber des motos en stationnement, des pancartes de restaurant etc... Je paie mes 45 minutes d'Internet et prend le chemin de l'hôtel. Une barrière est tombée dans la petite rue qui y mène. J'essaie de passer par une autre rue mais il y a bien 25 cms d'eau et je renonce. Je reviens à la petite ruelle et je réussi à enjamber les tubes de la barrière. Les riverains commencent à la démonter. Lorsque j'arrive à l'hôtel elle n'est pas dans le noir mais la patronne essore avec une serpillière. Michel et Pierre-Jean en font autant dans le chambre. Il y a eu une gouttière et, bien entendu, l'eau a coulé juste sur le clavier de mon petit ordinateur. Il fonctionne toujours mais certaines touches, en combinaison avec la touche majuscule, ne répondent plus. Il est donc normal qu'à partir de maintenant il manque certaines majuscules et que les points soient remplacés par de tirets. Ce sera provisoire et je corrigerai, en même temps que les nombreuses fautes (petites touches du clavier, petit écran peu lisible et manque de temps pour relire) lorsque nous seront rentrés.

le soir nous sortons pour dîner. Le quartier où nous voulions manger est dans le noir. Nous nous dirigeons donc vers le marché qui est lui aussi dans le noir. Les petits restaurants ont mis des bougies et servent des repas. Nous prenons cinq riz frits avec poulets (175 bahts) et nous ajoutons 50 bahts de sucreries. L'électricité revient lorsque nous terminons. Nous faisons ensuite un tour des étales et nous prenons 10 beignets et 2 paquets des petits gâteaux mous (cela ressemble à du pain de mie vert) (20 bahts le tout). Nous rentrons ensuite à l'hôtel ou nous jouons, avec Michel, au coiffeur. J'ai apporté une tondeuse et, comme cet instrument ne semble pas vraiment nécessaire, nous l'utilisons pour commencer notre périple en duo avec une tignasse réduite avant que Pierre-Jean ne le rapatrie.

Jour 19 - Chiang Maï – Mae Kachan – 87 kms - Moyenne: 12,97 Km/h - Dénivelé montant 1075m – Pente Maxi 12% - Jeudi 31 janvier 2013

Levé à 7h30 heures pour prendre le petit déjeuner à 8h15. Nous prenons 5 petits déjeuners continental amélioré (jus d'orange en plus) = 550 bahts en tout. C'est notre dernier repas ensemble et nous partageons ce qu'il reste du porte monnaie commun. Pierre-Jean récupère ensuite le carton de vélo qu'il avait réservé. Michel et moi installons nos sacoches pour le départ vers Mae kachan.

Nous sommes prêts pour le départ vers 9h30 et nous faisons nos au revoir à ceux qui nous ont joyeusement accompagné jusqu'ici. Le GPS nous guide vers la sortie de la ville. Après 15 kilomètres nous sommes dans la campagne mais encore sur une route à chaussées séparées. Au kilomètre 25 environ la route n'est plus à chaussées séparées et commence à monter. Nous avons quitter la plaine et les rizières qui entourent chiang Maï et nous sommes maintenant dans des collines boisées. la route monte sur les collines puis redescend. Parfois elle remonte le cours d'un ruisseau. Nous gagnons doucement de l'altitude.

la région est peu habitée et nous nous empressons de nous arrêter lorsque, au kilomètre 35, nous passons devant un petit restaurant. Nous prenons chacun un riz poulet œuf légumes et un coca et une grande bouteille d'eau capsulée pour nous deux (90 bahts le tout).

Nous reprenons la route une demie heure plus tard. La route est toujours agréable et globalement montante. Dans une montée un Monsieur âgé court pour nous donner deux bouteilles d'eau. Nous acceptons et buvons. Un peu plus loin une voiture nous arrête et le conducteur nous tend un billet de 100 bahts pour que nous nous offrions à boire plus loin. Peut être aurions-nous dû accepter pour ne pas le vexer mais nous avons refusé.

Le temps varie entre le grand soleil, ciel nuageux ou franchement menaçant. Nous ne nous arrêtons donc pas en passant au point culminant de la journée à 1000 mètres environ (la pancarte qui indiquait l'altitude il y a deux ans a disparu). La descente est rapide et la température qui était de 23°C au sommet remonte rapidement. Au kilomètre 70 nous traversons un village qui paraît riche (beaux temples, mosquée etc..) avec une place bordée de beaux restaurants et de belles boutiques (bijouteries etc..)- Nous nous installons dans un restaurant sur la plus belle table en bois massif du voyage et prenons chacun une soupe de nouille poulet et un jus de fruit en bouteille. Pour terminer nous prenons chacun 2 petits pains blanc fourrés à la confiture (180 bahts le tout).

Nous reprenons la route qui est maintenant plate avec quelques petites montées et descentes. Nous arrivons rapidement à Mae kachan. Nous étions déjà passés dans cette ville il y a deux ans et je me souvenais d'un hôtel qui proposait de belles chambres bungalows. Nous n'avions alors pas pris la chambre car toutes n'ont qu'un seul très grand lit. Nous retrouvons facilement l'hôtel qui est sur notre route et y prenons une chambre pour la nuit. La chambre est grande et propre et le mobilier est neuf. Il y a climatisation, ventilateur, télévision, réfrigérateur et eau chaude. La salle de bain est aussi plus grande que d'habitude et le WC est séparé de la douche par un petit muret.

Nous ressortons vers 20 heures. Nous ne trouvons qu’un seul petit restaurant ouvert. Il n’y a que de la viande. Nous prenons chacun une brochette de poulet en boulette, une autre brochette de poulet (carcasse) et une saucisse chinoise. Nous accompagnons le tout d’un Fanta (90 Bahts le tout).

Suit une visite dans un café Internet pour mettre en ligne photos et texte.

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